mercredi 27 février 2008

Quatre de plus

Il en manque combien maintenant... Je sais pas exactement, mais on pourrait dire beaucoup trop. Va-t-on devoir attendre que la santé de chacun se détériore afin de les libérer... Un peu d'humanité S.V.P.

Et je comprends pas pourquoi certains dirigeants disent que c'est pas des terroristes. Ça m'attriste de voir ça, mais malheureusement, tant qu'il y aura des humains, il y aura de l'humainerie...

Je ne sais pas qui a inventé l'idéalisme , mais des fois je crois qu'il aurait du rester coucher cette journée là... Car derrière tout ça, c'est ce que l'on retrouve, dans le pays voisin comme dans chez ces chères guérilleros (Bon, il y a peut-être quelques intérêts cachés également, mais on en parlera pas).

mardi 26 février 2008

Fierté et patriotisme Colombien

Je crois pas en avoir parlé encore... Quelque chose qui marque lorsque l'on rencontre un ou une Colombienne à l'étranger, première, si c'est une femme sa beauté ! Mais également son patriotisme et sa fierté d'être Colombien (ou Colombienne). Ça m'avait vraiment marqué l'an dernier, lorsque j'ai rencontré ma copine en République Dominicaine. Elle m'a carrément vendu la Colombie ! Un beau pays, riche, ou les femmes sont belles, le climat riche, et les gens aimables. Et elle avait pas tort non plus.

Cependant, c'est fou comment le discours change lorsque l'on arrive ici. Ça râle contre le trafic, les mauvaises conditions dans les emplois, la désorganisation ambiante, la corruption, les guérillas, la bureaucratie, la pauvreté, l'insécurité (relative), et j'en passe. Ça me fait rire même.

Un de mes amis ici me l'a expliqué, et lui même ne comprend pas. Les Colombiens sont très fier de leur pays... une fois qu'ils en sont sortis, et dès le retour à la maison, ça ne semble plus pareil, et maintenant que je travaille, je fréquente d'autre monde un peu, extérieur au cercle de connaissances de mon épouse, et ça semble généralisé. Par contre, il y en a toujours qui sont des éternels positifs ! Au moins ça s'est bien. Car c'est un pays avec un potentiel énorme, manque un peu d'organisation seulement. D'ailleurs, si le reste de la Colombie se développe à l'image de Bogotá, ça pourrait devenir très beau (en espérant pas traîner le climat de Bogotá dans tout le pays).

Mais bon, ma femme m'a rassuré, elle m'a dit que dès qu'elle va sortir d'ici, elle va recommencé à être la meilleur vendeuse pour son pays !

vendredi 22 février 2008

Changement de plan

Bon, le voyage à Bogota nous a amené de nouvelles informations, ainsi, on va rentrer beaucoup plus vite que prévu au pays.

Ma première idée était de rester ici pour un certain temps, le temps que ma copine complète ses études universitaires. Mais bon, disons que les études ici, avec le travail à temps plein, c'est pas mal difficile. Je m'en suis vite aperçu, lors des premiers mois, ma copine (à l'époque, ma femme maintenant) devait se taper son boulot ainsi que l'université. Ses journées commençait à 7 heures, et se terminaient vers 10 heures quand ça allait bien, et plus tard quand ça allait moins bien. Et je crois qu'elle n'a pas la santé pour en supporter autant, tout le stress du travail et de l'université, et aucun temps pour vivre, c'est pas une vie... Malheureusement, c'est la réalité pour bien du monde ici.

Ensuite je me dis, bon, et bien on va revenir plus vite. Ma première idée, c'était de la parrainer à partir d'ici, afin qu'elle ait sa permanence une fois que l'on déciderait de rentrer au pays. Encore une fois, ça aussi c'était compliqué. Finalement, c'est plus facile de parrainer pour moi si je suis au pays. De plus, sa famille va pouvoir demander les documents nécessaires en Colombie.

L'autre truc qui me faisait peur, c'était les cours de français. Mais elle va pouvoir commencer à son arrivé, puisque c'est possible de commencer la francisation des immigrants avant que ceux-ci n'ait obtenu leur permanence (du moins selon mes lectures)... Donc il y a plus vraiment d'intérêt à prolonger notre séjour ici.

On va alors demander un Visa de touriste, théoriquement valide pour six mois, mais puisque les démarches sont longues (On parle de 8 mois), on va demander une extension à notre arrivée au Canada, il semblerait que pour des cas clairs, comme le nôtre, ce ne soit pas si difficile. Je crois que le fait que l'on s'est marié ici, que je suis venu vivre ici avec elle va démontrer le sérieux de notre démarche. Ainsi, nous espérons être au Québec vers le début avril.

De plus, je crois pas que ça soit trop difficile pour moi de me trouver un emploi, il semble y avoir encore beaucoup d'emplois disponible à Québec (et à Montréal, je crois que notre choix sera Québec, côté qualité de vie, je trouve ça bien mieux) !

Si j'avais apprécié mon emploi ici, ça aurait peut-être été différent, mais bon, j'en ai parlé antérieurement... Alors je crois que ça sera plus profitable de rentrer.

Mais bon, c'est pas fait encore, je suis toujours au boulot, il faut que j'achève bientôt, car j'ai besoin de temps pour commencer à tout régler !

mercredi 20 février 2008

Notre voyage à Bogota....

Terrible, terrible, terrible... On a manqué de chance un peu disons.

Tout a bien commencé, nous sommes parti à 8 heures du terminal d'autobus samedi matin. Le voyage c'est très bien déroulé, mais c'est très long. 8 heures d'autobus en ligne, ou presque. Nous avons donc traversé la Linea. Il s'agit d'un passage dans la montagne, on monte la montage et on redescend par la suite. Je comprends pas pourquoi on appelle ça la linea, car il y a rien de droit ! On tourne toujours, souvent à 90 degré, sans compter que l'on monte et descend. C'est très long à traversé, très impressionnant, jusqu'à temps que l'on soit dans les nuages, là, on ne voit plus rien. Au départ, je ne comprenais pas pourquoi c'était aussi long aller à Bogotá. Et maintenant, je comprends. On ne peut pas rouler vite sur cette route, sans compter le trafic. Il s'agit de la principale voie de sortie de Bogotá vers le Pacifique. Mais bon, ça, c'était pas si pire depuis Ibague. On frappe un bon bout planche, et par la suite, on monte et on monte et on monte, pendant presque deux heures de temps. C'est assez hallucinant, étant cycliste, j'y voit de grand défi !

Bon, ça c'est pour la route, par la suite, on a eu plein de problèmes...

Une fois arrivée à Bogotá, on a pris un taxi afin d'aller rejoindre notre hôtel, on s'est payé un forfait nuit de noce, car c'était un peu notre lune de miel. On a donc pris un taxi, on a trouvé ça cher et par la suite on a réalisé que l'on s'est fait crosser. Mais bon, c'est pas si grave.

On est arrivé à l'hôtel, vraiment bien ! On a bien apprécié, le repas était excellent, j'ai mangé de très bonnes pâtes, j'ai vraiment apprécié, ma copine également, on était très plein tout les deux.

Pour notre soirée de noce on avait réservé, mais pas pour les jours suivants (On voulait le faire la semaine dernière, mais finalement, on était vraiment claqué, déjà que l'on avait passé une soirée complète pour trouver l'hôtel pour la nuit de noce). C'est ce que l'on a essayé de faire, on voulait quelque chose de proche et pas chère, ce qui n'était pas compatible finalement. Mais on a trouvé quelque chose mais bon... (Voir la suite un peu plus bas)

Le lendemain matin, fallait aller pour mes papiers, On a été chanceux, tout a fonctionné du premier coup, il y avait du monde pour qui ça faisait plusieurs fois qu'ils y allaient. Il faut dire que les procédures sont très longues. Mais bon, j'ai quand même appris une mauvaise nouvelles. C'est pas suffisant pour travailler. Je peux maintenant aller chercher la "Cedula Extranjera", et pour travailler, ben je dois premièrement me trouver un emploi (ça, c'est fait), mais je dois aussi par la suite retourner à Bogotá pour faire changer mon statut ! Bon, j'y reviendrai demain, mais il y a de bonne chance que ça n'arrive pas...

Ensuite, on a dû trouver un lieu pour manger, une banque ou retirer de l'argent, et ça, ça a été long... Mais faut dire que l'on ne connaissait pas la ville. Ensuite à l'hôtel, pour terminer de régler le tout et Ô surprise, le repas de la veille était pas inclue finalement. Bon pas grave, c'est la lune de miel après tout !

Ensuite, on se dirige vers l'autre hôtel, c'est cher et nous plaît pas tant que ça, mais bon, on se dit "de la marde...", Alors on se dirige vers l'ambassade Canadienne afin de posé des questions. Puisque l'on était proche, on se dit que l'on va y aller à pied... Mauvaise idée, il y a eu un de ces orages, on était complètement trempé, et je sais pas si vous savez, mais à Bogotá, il fait pas chaud, on est quand même à 2700 m d'altitude.

On finit par arriver à l'ambassade, au moins, là on a eu des bonnes nouvelles, mais ça, j'y reviens demain.

Ensuite, à notre hôtel, pour réaliser qu'il y a une fenêtre qui ferme pas, et je vous jure il fait froid à Bogota, le bonhomme de l'hôtel peut rien faire, ça lui prend un certain temps avant de finir par nous offrir de nous rembourser. Alors à la course encore, on se cherche un autre hôtel.

On finit par en trouver un, mais disons que c'est pas le luxe, et de plus c'est quand même assez éloigné, mais juste le fait d'avoir une chambre, on est alors content, car on avait eu de la misère à trouver (il paraîtrait que c'était le Feria de Bogota, mais on a rien vu là dessus en ville).

Le lendemain, on va visité la ville, on va dans les vieux quartiers. Soit dit en passant, c'est très beau Bogota, très froid et pluvieux, mais très beau. Très bien organisé d'ailleurs. Pour habiter à Cali, je dois dire que ça ne se compare pas ! On a l'impression d'être dans une grande ville du monde, la ville est relativement propre, les avenues larges, il y a de la place pour les piétons, contrairement à Cali...

Dans l'après-midi, on retourne à l'ambassade, pour élucider certains derniers points. On prend alors le Transmileno (j'y reviendra dans un autre article). Cependant, le point où l'on débarque est éloigné de l'ambassade, mais pas tant que ça. Mais puisque ma copine avait pas des souliers pour marcher (ces derniers étant détrempés de la veille), elle a souffert un peu beaucoup. Mais bon, on va à l'ambassade, et ensuite lui acheter des souliers plus confortables.

J'avais donc besoin d'argent, je vais au guichet, je retire et... rien qui sort du guichet. En ce moment, j'ai un beau débit de 217 dollars dans mon compte, mais toujours pas les pesos qui leur sont associés... Alors là je sens que ça va être compliqué de retrouver ça, mais bon ce soir on est claqué, on va se battre demain.

La soir, on est allé prendre une bière au parc de la 93 (rue), très beau parc, avec plein de restaurant hors de prix, on s'est contenté d'un McDo. Mais c'était une première pour mon épouse, elle en a profité pour me raconter toutes l'histoire des McDos, ayant fait un travail pour l'école là dessus. On a par la suite pris une bière dans un petit pub sympathique tout près également, et par la suite dodo.

Le lendemain était le retour, chemin inverse, 8 heures d'autobus, toujours très long. l'arrêt pour manger était dégueulasse. Ma blonde n'a pas aimé la bouffe, et non plus les toilettes. Il y a plein de lieux pour arrêter manger, pourquoi le chauffeur a choisi celui-là, on cherche encore à comprendre...

Mais bon, on a manqué beaucoup de chance je crois, un peu d'organisation. Mais je veux quand même souligner que j'ai bien apprécié Bogota dans l'ensemble, mais j'avoue que je déteste son climat !

J'ai profité de ce petit voyage afin de prendre quelques photos, vous irez voir ça.

samedi 16 février 2008

El festival de la desorganización

Bon ça fait maintenant près de 4 mois que je suis en Colombie. Il y a beaucoup de chose que j'apprécie de l'esprit latin, l'aspect festif entre autre, la chaleur des gens, l'amabilité. Cependant, il y a d'autres aspects que j'aime moins...

Depuis plusieurs mois, je lis sur l'Amérique latine, et entre autre des nouvelles économiques, le point qui en ressort le plus souvent est le manque de productivité. Au départ, je me demandais bien pourquoi, et maintenant, je comprends...

Il y a un profond manque d'organisation par ici, que ce soit dans le public avec sa bureaucratie ou dans le privé, qui normalement est plus organisé (puisque les profits en dépendent). Et bien ici, tout me semble désorganisé. De l'entreprise de fourniture de service Internet et télévision, en passant par l'état et par les différentes entreprises privés. Bon il est vrai que je n'ai pas beaucoup d'exemple, j'ai mon entreprise de câble, Vision Satelite, qui a eu toute les misères du monde à m'offrir un service qui a du sens (et encore là, je peux pas dire que c'est très fort, mais maintenant au moins ça marche), l'entreprise où travaille ma copine, un concessionnaire Honda de moto que je ne nommerai pas, qui fait beaucoup de vente, mais qui arrive à peine à livrer. Et maintenant, l'entreprise pour laquelle je travaille (Il y a également d'autres exemples dans la vie quotidienne, mais je commencerai pas à tout énumérer).

En général en informatique, pour que les choses fonctionnent, on doit être très organisé. Ici, un peu moins je crois, et souvent, ça fonctionne moins aussi. Je travaille actuellement sur un projet et je suis vraiment pas sur que l'on va livrer. Mais il semble qu'il ne faut pas s'en faire. Un m'a expliqué la théorie du casse-tête. Lorsque l'on fait un casse tête, on ne sait pas au début où vont toutes les pièces, alors on assemble celle que l'on peut. à la fin, il est alors plus facile de placer les pièces manquantes ! Bon, je suis bien d'accord, mais je crois pas que ça s'applique à mon domaine.

Autant parfois lorsque je travaillais au Québec, je trouvais que tout était trop organisé (et donnait peu de résultat parfois), autant ici je suis dans l'autre extrême. D'ailleurs je n'aime pas les extrêmes, mais on dirait que j'y suis abonné.

Le pire, c'est que beaucoup de monde semble tanné de cette situation, mais personne peut rien y faire ou ne veut rien y faire...

Ici, je crois que c'est un peuple marchand, tout semble focusé là-dessus ! On doit vendre, vendre, vendre, mais il me semble que l'on parle pas beaucoup de service après vente, de satisfaction du client. D'ailleurs, à l'entreprise où je travaille on annonçait un séminaire cette semaine, "Comment reprendre un client perdu". Personnellement, je crois qu'il est bien moins coûteux de ne pas perdre un client que d'essayer de le reprendre... Je crois que les entreprises sauverait beaucoup d'argent et de temps avec un séminaire s'intitulant "Comment garder son client" ou encore "Comment s'arranger pour que ses clients deviennent sa meilleure publicité".

Mais bon, il y a de l'espoir, car beaucoup de monde que je rencontre semble conscient du problème, et si je me rappelle bien, la première étape afin de résoudre un problème, et de s'apercevoir qu'il y en a un...

En attendant, je continue à rire lorsque je vois mon gars du câble venir arranger le service en BMX...

Mon mariage, dernière partie

Bon, j'avais bien l'intention d'en parler un peu plus tôt, mais disons que mon nouveau boulot est plutôt exigeant, puisque je dois me lever à 6 heures, et je suis de retour seulement vers 7 heures, 7h30, alors vous comprenez qu'à mon retour, j'embarque pas nécessairement sur mon ordinateur. Mais bon, j'y reviendrai.

Premièrement, les remerciements

Il y a maintenant une semaine, c'était notre mariage. Ce fut très agréable, une très belle petite cérémonie, bien belle pour quelque chose fait en l'espace de deux semaines seulement. J'ai vue que beaucoup de monde sont venus voir les photos, et tout le monde semble avoir trouvé ça bien beau, et ça l'était également. Mais c'est pas seulement grâce à nous deux...

Nous tenons à remercier la famille de ma copine, qui a été très active dans la préparation de la noce, la tante de ma copine nous a aidé énormément (gâteau, décoration, etc..) Nous tenons à la remercier particulièrement. (Je vais essayer d'écrire un peu en espagnol, mais il faut dire que j'ai encore beaucoup de chemin à faire...).

Queremos agradecer la tia de mi esposa, Ana Maria Perèz, por nos haber ayudado mucho durante todo el processo de preparaciòn del matrimonio, el pastel (tarta), la decoraciòn, etc. Muchas gracias todavía de nosotros parte.

Nous désirons aussi remercier tous ceux qui se sont déplacés afin de venir à notre noce, principalement la famille de Leidy, ses amis et compagnons de travail. Encore merci beaucoup.

Queremos tambíen agradecer todos aquellos que venieron al matrimonio, principalmente la familia de Leidy, sus amigos y amigas y todos sus compañeros del trabajo. Muchas gracia todavia.

J'ai également une pensée toute spéciale pour mes parents (mon père et sa blonde Lucie) qui ont tout essayé afin de venir à notre noce, et même s'il s'agissait d'une petite cérémonie. Malheureusement, ils n'ont pas pu, pas facile d'organiser un voyage en Colombie à la dernière minute, surtout lorsque l'on est pas vraiment dans la ville touristique par excellence et que l'on ne maîtrise pas la langue. Cependant, seulement pour l'intention, ça nous a touché beaucoup. Merci beaucoup d'avoir essayé, et qui sait dans quelques années on se reprendra peut-être avec un mariage au Québec, mais cette fois, on prendra plus le temps de tout bien organisé !

Nous tenons également à remercier tous mes amis, compagnons de travail et ma famille qui suit ce blog. Je sais que vous étiez avec nous de manière indirect. On a senti votre présence au cours de la soirée (surtout au début, car à la fin, on sentait plus grand chose, les noces sont plutôt bien arrosés ici !)

Sans oublier que nous remercions tous ceux qui nous ont offerts un cadeau de mariage, c'est très apprécié également, et j'ai une pensée toute spéciale également pour mes amis de travail au Ministère, ça m'a beaucoup flatté de voir que même si je suis loin maintenant, on pense encore à moi, et même à nous ! Merci beaucoup encore (J'ai bien hâte de voir la photo, avec un banc de neige S.V.P.).

No podemos olvidar tambíen toda la gente que no regalo por el matrimonio, muchas gracias de ayudarnos a salir en la vida. Igualmente por la gente que no estaba con nosotros, mis antiguos compañeros del trabajo al Ministerio del transporte.

Bon je crois ne pas oublier personne, du moins j'espère...

Deuxièmement, la cérémonie

Tout fut bien agréable, une très très belle cérémonie, vue le temps que nous avions pour nous préparer. Tout le monde semble bien avoir apprécié. La cérémonie a débuté vers 6 heures finalement, j'espère juste que j'ai bien compris toutes les paroles du notaire ! La mariée également était très jolie, cette semaine, nous avons reçu les photos officielle (car oui, on avait un photographe), elles sont toutes très belles. J'essaierai d'envoyé au pays l'album virtuel de la noce. Cependant, puisque le fichier est assez gros, et que j,ai une connexion plutôt lente et instable, je sais pas trop encore comment je vais faire. Ah oui, on pourrait me dire de faire ça au travail, mais ma connexion est meilleure à l'appartement... :(

Qu'importe, sous peu je scannerai les photos...

Alors poursuivons, ensuite il y a eu le repas, très bon d'ailleurs, si jamais il y en a qui voudrais organisé une petite noce ici, je le recommande ! C'était excellent.

Ensuite, et bien la danse, on a dansé toute la soirée, et il faut dire que dans ce domaine, ma copine était bien plus populaire que moi. Bon c'est vrai qu'elle danse beaucoup mieux que moi. Mais j'ai quand même fait des progrès depuis que je suis ici !

Ah oui, on a bu aussi, beaucoup... Moi j'ai pris de la bière, puisque je ne supporte pas le Whisky (c'était la boisson que l'on offrait aux invités, avec le champagne bien sûr). Mais on a quand même pas abusé, certains ci...

La noce s'est terminé vers 2 heures trente, 3 heures, et par la suite nous avons poursuivis ça à l'appartement (Il faut dire que l'on habite proche du lie de la noce) avec les amis les plus soûls. On était pas tant que ça, mais on a eu droit à un fait cocasse. Vers 5 heures du matin (moi et ma femme, on était déjà couché), le cousin de mon épouse et un ami ont décidé qu'ils avaient faim, alors ils sortent pour essayer de trouver quelque chose à manger. Malchance, ils sont tombés sur un voleur avec couteau qui leur a gentilment demandé tout leur argent, et la bouteille d'aguardiente qu'ils avaient avec eux. L'Amis en question a bien accepté, mais il a quand même demandé un dernier vert au voleur, et ce dernier lui a donné. C'est vraiment sympathique la Colombie !

Et maintenant Bogotá

Bon, demain on part pour quelques jours à Bogotá, j'ai bien hâte de voir cette vile, j'y suis passé cet été, mais seulement par l'aéroport, alors j'ai rien vu. Il paraît que c'est très beau, très gros et pas chaud (2700m d'altitude). J'ai bien hâte de voir si c'est vrai que la ville est bien organisé. Pour le moment, j'ai un seul exemple, et c'est Cali, et je dois dire que c'est très désorganisé.

Alors demain, levé à 6h30, on prend l'autobus à 7h30 et on devrait être à Bogotá vers les 5 heures (On parle de 8 à 10 heures d'autobus, pour un peu plus de 400km), nous en profiterons alors pour faire notre lune de miel. Alors la semaine prochaine j'aurai d'autres photos de la Colombie à montrer !

Et le travail

Et bien, ça me décourage un peu, je sais toujours pas où l'on s'en va avec ce projet... ça me stress un oeu, mais la désorganisation est semble-t-il culturel ici. Comme mon patron m'a expliqué cette semaine, lorsque l'on débute un casse tête, on ne sait pas toujours où vont toutes les pièces de ce dernier, alors on avance tranquillement, et la fin tout se rassemble... Bon, c'est une option qui fonctionne avec les casse-tête, mais je ne suis pas convaincu pour les projets en informatique !

Ah oui, cette semaine au travail, il y a un séminaire intéressant, comment faire pour reprendre un client perdu. J'en ai pas vu encore qui se nomme comment faire pour ne pas perdre un client... On est vraiment dans un autre monde !

lundi 11 février 2008

Mon mariage

C'était bien agréable, mais j'en écrirai plus ce soir... En attendant, vous pouvez aller voir les photos, ils ne sont pas toutes bonnes, mais bon, on a les services de professionnels, on va avoir de très beau souvenir cette semaine.

http://picasaweb.google.es/pouliotf/NotreMariageFVrier2008

samedi 9 février 2008

Ce qui manque à l'Amérique du Sud

C'est facile quant à moi... Le CENTRE !

En Amérique du Sud, en ce moment, on retrouve la droite, le centre qui se dit à gauche, et la gauche, qui est très à gauche !

Je viens de lire un article dans El Tiempo, on y parle de l'implication du Venezuela (et de Chavez) dans les autres partis à gauche en Amérique du Sud. J'ai bien hâte au jour, ou le monde vont comprendre que la solution est au fond, au centre, au point d'équilibre ! J'ai passé un test il y a peu de temps pour déterminer où je me situais, et je suis bien content, bon, c'est un test, c'est quand même subjectif, mais je vous invite à le suivre (Bon j'arrive plus trouver le lien (Test de Nolan), mais quand je l'ai fait, j'étais presque au centre, une petite affaire à gauche, et une petite affaire libertarien).

En Amérique Latine (et central), on retrouve de tout... les extrêmes. À deux exception, et peut-être trois, le Chili, le Brésil et peut-être l'Argentine...

Les deux premiers pays semblent sur la bonne voix, du moins les chiffres économique semblent le démontrer. Pour l'Argentine, ben j'ai l'impression qu'ils manquent beaucoup de liquidité, et sont prêt à tout pour obtenir l'argent dont ils ont besoins ! Du moins, c'est ce que j'en comprends avec certains blogs que j'ai lu... donc ils sont peut être à gauche de coeur mais à droite de portefeuille !

De l'autre côté, il y a celui plus à droite que les autres, et dans lequel je me trouve. Quoique je dois dire que depuis que cette droite est au pouvoir, beaucoup de choses se sont quand même améliorés, bon j'étais pas là, mais c'est ce que les Colombiens me disent ici, et ça semble partagé pour plusieurs, car demain matin ce président serait facilement reporté au pouvoir. En Amérique central, il y aurait également le Salvador et le Mexique (Bon ce dernier c'est pas l'Amérique central, mais c'est pas l'Amérique du nord non plus quant à moi).

Et d'un autre côté, l'extrême gauche... Vénézuela avec ses pénuries, Bolivie incapable de développer son potentiel, Nicaragua qui aimerait bien avoir les ressources pétrolières (et gazière) potentielles des Caraïbes... qui appartiennent à la Colombie avec son archipel de San Andres (et d'ailleurs, comme pour le Venezuela, devrait importer la grande partie de l'expertise pour l'exploiter), l'Équateur qui cherche à se distancier des autres.

Bon, il y a la Pérou et les autres pays d'Amérique centrale pour lesquels je suis pas au courant. (Quoique le Pérou doit pas être si pire, puisque d'importantes entreprises bancaires canadiennes y achètent des banques... j'imagine qu'il y a de l'argent à faire !)

Au Québec, on est trop socialiste à mon goût, mais au moins, on s'est servi de l'état pour développer nos expertises (hydroélectricité, ingéniérie, informatique). On a des richesses, et on a réussit à les exploiter seul, à se débrouiller, et à créer de la richesse après... Bon, l'état l'a tout gaspillé par la suite, mais ça c'est une autre histoire !

Dans ces pays de gauche d'Amérique du Sud, j'ai l'impression que la philosophie est de prendre aux riches pour distribuer aux pauvres et... voir quels problèmes ça crée après, et nié les problèmes par la suite. L'idéologie est plus importante que le résultat.

Finalement, tout ce texte pour dire qu'avant de partager la richesse, il faut la créer (Et non juste la prendre tout cru, comme avec les ressources naturelles).

La collectivité ne peut créer la richesse, pour la simple et bonne raison que pour créer la richesse, il faut prendre des décisions, et aucune décision ne peut faire plaisir à tout le monde, donc il faut des décideurs, qui acceptent de s'enrichir, de se faire des ennemis, et qui acceptent de perdre.

Dans un système démocratique, la démocratie est le contre-poids au capitaliste, et c'est ce qui peut permettre de maintenir un équilibre.

Lorsque l'on enlève l'un des deux contre-poids, et bien c'est à ce moment que les problèmes commencent (Je pense aux États-Unis aussi en disant ça))... Et c'est la raison pour laquelle le centre est très important.

Le capitalisme reflète l'homme et sa manière de vivre et de penser et de survivre, et le socialisme du 20e siècle reflète l'idéal inateignable. Le but du jeux est d'atteindre l'équilibre entre les deux...

vendredi 8 février 2008

Dernière journée de célibat

Bon dernière soirée de célibataire. je prends ça molo à l'appartement, ma copine est allée couché chez sa tante, il paraît que ça porte malheur de dormir avec l'épouse avant la mariage... Alors je suis seul ce soir, pas d'enterrement de vie de garçon, puisque je dois avouer que je n'ai pas encore eu l'occasion de me faire beaucoup d'amis ici, seulement des connaissances pour le moment, et puisque je viens seulement de commencer à travailler, c'est encore plus des connaissances qu'un cercle d'amis proche.

D'ailleurs, j'ai entendu parler des enterrements de vies de garçon ici, et je dois dire que ça m'intéresse pas vraiment...

Mais bon, un peu de stress, c'est quand même ma dernière journée de célibat, ça fait vraiment bizarre, ça devait bien m'arriver un jour ! Mais bon, je suis prêt, tout va bien avec ma copine, j'ai rencontré une petite femme depuis presqu'un an maintenant, je partage ma vie avec elle depuis trois mois déjà, et tout va toujours bien. Alors le grand saut c'est pour demain. Si on m'avait que mon voyage en République Dominicaine changerait ma vie comme ça l'an dernier, je l'aurait pas crû !

Ce sera une petite cérémonie, mais tout est prêt maintenant, il reste à régler quelque petits derniers détails, comme me faire couper les cheveux, m'habiller, mais tout est prêt.

D'ailleurs, ça tombe bien que je n'aie pas d'enterrement de vie de garçon, car je suis pas mal fatigué. J'ai commencé à travailler la semaine dernière, je dois me lever à 6 heurs à tous les matins, et je suis pas de retour avant 7h15, 7h30 le soir, je passe une bonne partie de ma vie dans l'autobus, ça devrait être moins pire lorsque l'on va déménager, on va trouver quelque chose un peu plus à mi chemin.

Il va rester à finaliser la légalisation de ma situation ici. La semaine prochaine, je vais à Bogotá pour régler ça. On espère seulement que tout sera correct, et qu'il n'y aura pas de mauvaises surprises, puisque la bureaucratie ici est plutôt complexe...

Organisation spatiale et... codes postaux.

Bon, il faut dire qu'au début, j'étais vraiment mêler, mais maintenant, tout est clair, et même que je trouve le système pas si fou, cependant, lorsque l'on utilise GoogleMaps, et bien le moteur de recherche d'adresse n'est pas encore au point (Pour comparer, il suffit de rentrer intégralement une adresse au Québec pour trouver le lieu sur GoogleMaps, et rien marche pour ici à Cali).

Mais finalement, le principe est vraiment simple. Toutes les villes en Colombie (et je crois même en Amérique latine) sont divisées ainsi. Dans l'axe nord-sud, on retrouve les «calle» (rue), et dans le sens est-ouest, les «Carretera» (route). Ici, on s'est pas cassé la tête à trouver des noms, c'est quasiment seulement des numéros, quoique parfois certains axes importants portent aussi un nom (mais ils ont aussi leur numéro).

Il y a aussi les «Avenida», mais ça semble moins fréquent. à Cali, on retrouve les Avenida seulement au nord de la rivière Cali (rio Cali), au sud, ce sont tous carreteras. Ainsi au nord du rio Cali, on retrouve les avenue, qui commence à 1 en partant du sud, et les carreteras qui paretent également de 1 à partir du nord.

Tout est ainsi quadrillé. Quand il y a des exceptions, et bien là encore on s'est pas trop cassé la noix. Exemple, j'habite la Avenida Quinta Norte (5e avenue nord), on peu plus haut, il y a la Avenida Quinta A Norte (5e avenue nord A), et encore un peu plus bas, la Avenida Quinta Norte B (5e avenue nord B), ensuite la Avenida Sexta (6e avenue). Il faut comprendre ici que l'on se retrouve dans un coin qui terminerait en triangle... Mais bon, c'est mêlant au début, mais on finit par s'y retrouver !

Ensuite les numéros. Tous les numéros de maison, d'appartement, sont composés de deux nombres. Le premier représente à quelle hauteur on retrouve l'appartement, par rapport a la rue, l'avenue, ou la route, et le second, il est un peu plus aléatoire, mais dans un ordre permettant de bien se retrouver. Exemple. mon adresse est Avenida Quinta Norte, 17n-42, ainsi, ça veut dire que j'habite sur la cinquième avenue nord, à la hauteur de la dix-septième rue nord (ah oui, dans mon coin, les rues ont tout le préfixe nord, car elles ne rejoignent pas tout le temps les autres rues au sud de la rivière, mais les rues sont quand même presque vis-à-vis) et le numéro de porte est 42.

Alors vous comprenez un peu le principe, c'est simple, mais finalement c'est crissement compliqué au début, en tant que gars de Québec, j'étais vraiment mêler, maintenant, je le suis moins que mon épouse(ou presque) (Ah les femmes et le sens de l'orientation).

Et puisque le système est si bien fait, alors pourquoi utiliser des codes postaux ! Et c'est exactement ce qui arrive, il n'y a pas de codes postaux en Colombie ! Il paraîtrait qu'il existe un service public de poste, mais pour moi, c'est encore un mystère... Je vois juste les courriers privés ici !

jeudi 7 février 2008

J'ai hâte de déménager

Bon, ça y est, j'ai réellement commencé à travailler. Et j'ai surtout commencé à goûter plus en profondeur au transports à Cali. Une heure de bus soir et matin, c'est vraiment long, donc ces temps-ci, je me lève à 6 heures, et je serai surement pas à la maison avant 7 heures et quart ce soir...

Le problème vient du fait que je vis dans le nord de la ville, et que je travaille complètement au sud de la ville, pratiquement à la sortie. Mais bientôt, moi et ma copine, on va régler ça, on va déménager un peu plus au centre de nos deux travailles, aisni on va partager le temps à faire entre nous. Mais on a d'autres raisons de déménager aussi.
  1. L'appartement est vieux, et sale, et remplit de coquerelle, on est vraiment tanné, il y aurait beaucoup de travaux à faire.
  2. L'Appartement est coûteux (Selon les standarts ici, bien sûr)
  3. L'Appartement est très loin de mon travail.
Je me demande seulement quand est-ce que l'on va avoir le temps de commencer à magasiner ça, et il faudra se trouver quelque chose avant la fin du mois, on veut pu vivre là très longtemps. Disons que ma vie est très occupée ces temps-ci, nouveau travail, mariage et bientôt déménagement ! Ouch, mais bon, on passera ben au travers...

mercredi 6 février 2008

Marche du 4 février : estimation ma foi plus réaliste !

Les estimations que j'ai vu afichés dans mon pays me semble beaucoup plus réaliste et ressemble plus à ce que j'ai vu sur le terrain ici : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2008/02/05/007-farc-facebook.shtml

J'ai hâte au jour ou les estimations de foules seront plus réalistes par chez nous aussi !

mardi 5 février 2008

Marche du 4 février : on exagère les chiffres

Je croyais qu'il y avait seulement au Québec où l'on gonflait toujours les chiffres des foules, et bien je me sens chez nous, ici aussi. Je me cherchais une référence sur le NET, mais vite comme ça, je n'en trouve pas. Cependant, hier à RCN (canal national ici), on annonçait fièrement que 10 millions de Colombien avait participer à la marche. C'est quand même plus d'une personne sur 5 ! Extraordinaire !

Cependant, le problème, c'est que je connais personne qui est allé manifester. Bon, moi c'est normal, je peux pas dire que je connais beaucoup de monde ici encore, de plus, j'étais à un séminaire sur un nouveau produit, au centre de Cali. Cependant, ma copine a quand même beaucoup plus d'amis et de connaissances, et elle non plus elle ne connaissait personne qui est allé marché. Pourtant, théoriquement, elle aurait dû en connaître, puisqu'un Colombien sur 5 a manifesté !

J'étais au centre de Cali, au coeur des activités. C'est vrai, il y avait beaucoup de monde, les images à la télévision l'annoncent bien, mais comme par chez nous, je crois que les chiffres sont largement exagérés. Une marche en plein lundi, jour de travail, il y a donc beaucoup de monde qui ne peuvent se déplacer. De plus, ici, souvent le monde travail six jours semaines, le dimanche, ça se repose...

Toujours est-il que même si j'ai pas marché, et bien moi aussi je n'aime pas les FARCS, le ELN, et tout ce qui a des armes, selon ma copine, c'est quand même un fait relativement nouveau qu'autant de monde sorte pour manifester, et je crois que c'est une bonne chose, tout le monde sont tannés de cette guerre intestine, qui ne débouche à rien, tout le monde veut la paix ici, sauf ceux dans la jungle... et ceux qui narcotrafiquent, c'est quand même plus facile de pratiquer ce dernier métier dans un pays qui est aux prises avec des guérillas, du moins je crois... (Ah oui, j'oubliais les vendeurs d'armes, eux aussi aiment surement beaucoup cette situation).

lundi 4 février 2008

Mon mariage en Colombie, partie 3

À vrai dire, il y a pas grand chose à dire. La majeure partie du mariage est payée, tout est prêt, salle réservée, photographie, costume, alcool (beurk whisky, et petit champagne). Mais bon, le gros stress est terminé, il ne nous reste plus grand chose à faire, seulement à se marier, et à régler les derniers bills, et ça va être fait (Mais j'en ai couru un coup, et pas évident quand tu maîtrises pas la langue) !

Hier j'ai assisté à mon premier mariage Colombien, et je crois que le nôtre va être mieux organisé. Je suis quand même fier, je crois que ça va avoir bien de l'allure, j'ai bien hâte, mais en même temps ça me stress un peu... Mon espagnol est pas parfait encore, j'espère juste de ne pas me tromper de réponse lors de la question importante, ça paraîtrait pas très bien...

Ensuite Bogota, pour les derniers papiers, et tout sera Ok !

samedi 2 février 2008

Première journée chez ParqueSoft

Bon, ma première journée est faite, mais j'ai quand même eu quelques petits problèmes.

Premièrement, le matin, j'ai réalisé un peu tard que finalement, l'autobus TransSur que je devais prendre ne passais pas à l'endroit que je l'attendais ! Zut alors. J'ai donc pris un autobus jusqu'à Jardin Plaza, dans le sud, et de là un taxi jusqu'à ParqueSoft. Bon, au salaire que l'on fait ici, il faut pas faire cela tout le temps ! Lundi je me reprends, je sais maintenant d'où part l'autobus, j'ai quand même peut un peu, car elle part du terminal d'autobus (interubain) de la ville, et le terminal est très gros ! Bonne chance à moi même.

La journée c'est bien déroulée, première réunon le matin, présentation du projet que l'on va réaliser, je vais travailler avec Commerce Server 2007, j'ai bien hâte de voir ce que ça va donner. Juste pour l'installation, c'est du sport. Mais bon, on va garder confiance, selon les spcéifications du produit, c'est supposé de nous faciliter la vie !

Le projet consiste à réaliser un genre de centre commercial vituel, qui intégrera plusieurs technologies. Il s'agira dans les fait de plusieurs portails régional, auquel des commerçants (ou des manufacturiers) pourront s'inscrire afin de vendre leurs produits. Les ventes se feront en ligne, mais également directement avec le contact d'un vendeur. Ainsi, les clients pourront aller sur le portail, et entrer en contact avec un vendeur, qui sera payé par commision sur ces ventes. Le gouvernement investit également là dedans, car le but sera de permettre à des personnes invalides de pouvoir travailler comme vendeur en ligne. L'objectif est louable, mais malgré tout, j'ai des doutes. L'ensemble technologique me semble très ambitieux, et le concept également. Mais je crois que c'est réalisable, et que je vais travailler beaucoup !

Théoriquement, je travaille du lundi au vendredi de 8 heures à 18 heures, avec deux heures de repas. Donc 40 heures semaines. Dans les faits, j'ai l'impression que très bientôt, on devra travailler plus fort.

De plus, le monde avec qui je vais travailler sont très sympathiques, et comprennent bien que mon espagnol n'est toujours pas parfait. Pour le moment, tout se passe bien, du côté travail, après une journée !

Le retour a été un peu plus ardu. Pour une seconde fois en quelques semaines, je n'ai pas pris le bon autobus, je me suis alors taper le tour de la ville. Je sais quelle autobus prendre la prochaine fois, j'espère de ne pas me tromper de nouveau ! 1 heure 30 pour revenir, un peu trop long.

Ah oui, et si vous désirez savoir qui est mon employeur maintenant, et bien consulter l'article précédent (qui dans les faits est l'article suivant) afin d'en savoir plus !

Qu'est-ce que ParqueSoft

Je vais en profiter pour présenter mon nouvel employeur. Dans les faits, je ne travaille pas exactement pour ParqueSoft. Comme son nom l'indique, ParqueSoft est plutôt un regroupement (parc) de plusieurs entreprises. Moi, je travaille plutôt pour l'entreprise se nommant Connexion.

Dans les faits ParqueSoft est ce que l'on appellerait au Québec, un incubateur d'entreprise. On y retrouve de toutes les technologies informatiques, tous les grands joueurs sont présents, de Java, à Oracle, Microsoft, IBM, les technologies OpenSource.

De mon côté, je vais travailler du côté des technologies Microsoft, car il y a déjà belle lurette que ma carrière est tournée vers ces technologies.

L'athmosphère me semble très bonne, ça semble fourmiller d'idée, mais je crois que ça manque un peu d'organisation encore. Mais ça va venir... Je vais d'ailleurs bientôt commencé à faire des propositions à mon équipe de travail !

D'ailleurs, moi qui rêve de démarrer en affaire un jour, je crois que je suis au bon endroit, j'aimerais bien y faire du développement à distance, et je crois qu'il y a des ressources très intéressantes dans ce milieu, du monde bien débrouillard à mon avis, si jamais il y avait des intéressés, genre vous avez une entreprise au Canada, ou des clients qui désirent un développement, et vous désirez réduire vos coûts, je crois que je pourrais vous aider, n'hésiter pas à me contacter !.

Site Web de ParqueSoft : www.parquesoft.com